On a tous vu ce petit bambin au moins une fois durant notre vie vidéoludique. En couche-culotte, avec une grosse tête, une casquette trop grande pour lui... Bébé Mario ressemble en tout point à Mario, en plus jeune. Normal, me direz-vous, puisqu'il s'agit du même, dans les premières années de sa vie. Mais cela est-il vraiment sûr ?

Commençons par le commencement... Bébé Mario apparaît pour la première fois en 1995, avec l'arrivée du mythique "Super Mario World 2 : Yoshi's Island". Dans ce jeu, Kamek veut capturer les Bébés car il a eu une vision : ces enfants donneront du fil à retorde à Bowser dans le futur. Ici, pas de doute, Bébé Mario est bel est bien Mario étant plus jeune. Mais l'histoire du plombier se complique quelque peu par la suite...

En effet, quatre ans plus tard, nous retrouvons Bébé Mario dans... "Mario Golf", sur Nintendo 64. Qu'un bébé joue au tennis, c'est déjà bizarre, mais qu'en plus son alter-égo puisse jouer contre lui, là, on est à la limite d'une manipulation génétique ! Comment peut-on expliquer ce fait ? Peut-être que Bébé Mario serait en fait le fils caché de Mario et Peach.. Mais ça ne colle pas avec "Yoshi's Island", aussi... Bon, fouillons d'autres jeux, pour essayer de comprendre...

Mais là, ça ne s'arrange pas. En 2000 sort "Mario Tennis". Et devinez qui ont voit débouler ? Bébé Mario ! Et devinez contre qui il joue ? Mario ! L'hypothèse du fils du plombier semble être validée pour de bon. Mais ce n'est sans compter sur la suite...

En 2002 sort "Super Mario Sunshine". Comme vous le savez sûrement, l'intrigue nous montre Mario et Peach qui partent en vacances, comme deux amoureux... Mais si Bébé Mario est leur fils, pourquoi ne l'ont-il pas emmené avec eux ? Mario et Peach seraient des parents irresponsables ? Cela ne colle pas avec l'image que l'on a d'eux, alors l'hypothèse de Bébé mario, fils de Mario, commence à flancher... D'autant plus qu'en 2003, on retrouve le bébé dans "Mario Kart Double Dash !!". Outre le fait de revoir Mario dédoublé, on est aussi en droit de se demander comment un nourrisson peut conduire un kart...

On retrouve alors les bébés en 2006, dans "Mario & Luigi : Parteners in Time". Là, plus de doute : Bébé Mario est bel et bien Mario plus jeune... Mais comment alors expliquer les jeux comme "Mario Tennis", où l'on peut voir les deux en même temps ? Des failles temporelles sont-elles apparues exprès pour que Bébé puisse jouer ? On peut aussi supposer qu'il existe deux Bébé Mario : un étant Mario plus jeune, et un autre étant le fils caché du plombier... Quoiqu'il en soit, Bébé Mario est un personnage plutôt illogique. Mais après tout, pouvons-nous vraiment trouver un minimum de logique dans un monde où les champignons parlent et où les tortues chevauchent des nuages ? Nintendo a crée à monde imaginaire, dans lequel passé et présent se côtoie tout naturellement...

Nintendo est une des plus grandes compagnies du jeu vidéo. Ce qui l'intéresse, c'est l'argent. Et cet argent, c'est grâce aux joueurs passionnés qu'elle le récupère. Malheureusement, l'industrie du jeu vidéo est métier assez difficile. En effet, les joueurs sont de plus en plus exigeants, demandent de plus en plus de qualité, d'originalité... Avec Mario, Nintendo a marqué un point fort. Mais depuis quelques temps, il semblerait que notre plombier moustachu s'essouffle...

Mario a un peu plus de 25 ans, et le nombre de jeux qui lui sont consacrés est impressionant. Mario a presque tout révolutionné : la plate-forme, le karting, le tennis, le jeu de l'oie... Mais forcément, il finit par tourner un peu en rond...

Qui pense à Mario pense forcément à la plate-forme. Des jeux de plate-forme Mario, il y en a eu énormément, les principaux étant ceux de la série "Super Mario Bros." et "Super Mario World". A chaque fois, le joueur a eu son lot de surprises, avec des nouveautés intéressantes et enrichissant le jeu ( voir le dossier sur la série "Super Mario Bros", pour plus d'informations ). Nous avons eu il y a fort peu de temps la joie de découvrir un nouveau Super Mario Bros : "New Super Mario Bros". Outre le nom très original, le jeu est un peu décevant question nouveauté. A part les graphismes à la hauteur de la console ( maginfiques, donc ), le jeu reprend les mêmes obstacles que les anciens jeux. Ce manque de nouveauté, vraiment navrant, en font de ce jeu presque un jeu gadget, un jeu "Nostalgie". Ce qui est fort dommage...

Vous avez sûrement entendu parler de "Super Mario World 2 : Yoshi's Island". Un jeu remplis de joie et de bonne humeur, de fraîcheur et d'originalité. L'un des meilleurs jeux jamais sortis. Sachez que la suite est prévue pour Noël, et qu'elle s'intitulera "Yoshi's Island 2". Le nom du jeu peut déjà laisser supposer sur le contenu, et les images dévoilées le confirment : ce sera exactement le même principe que le premier ( ce qui, en soit, n'est pas une si mauvaise nouvelle que ça ). Le problème est que nous vaons l'impression de ne rien avoir de nouveaux ! Outre le fait qu'il y aura plusieurs bébés avec des capacités propres, le jeu a l'air de n'avoir rien d'innovant. Nintendo aurait-il perdu la main ? Quoiqu'il en soit, mieux vaut ne pas juger un jeu que l'on a pas testé. De toute manière, il sera obligatoirement sur ma liste de Noël ^^

Parlons à présent de l'origine de Mario : le jeu "Donkey Kong". Vous savez, le jeu dans lequel le gorille nous envoie des tonneaux à éviter, pour aller sauver Pauline. Maintenant, regardez de plus près "Mario Vs Donkey Kong". Vous savez, le jeu dans lequel Mario doit éviter des obstacles en tout genre dispersés par le gorille pour aller récupérer des jouets volés. Vous ne voyez pas une légère ressemblance ? Et bien si, Nintendo a complètement décalqué son ancien système, et nous a crée ce petit jeu sympathique sur GBA. Il a le mérité d'être très maniable, mais on est en droit de se dire que Nintendo n'est pas allé cherché l'idée bien loin... D'autant plus que pour Noël, un deuxième opus est prévu. Je vous laisse deviner le nom du jeu. Jeu qui comprendra les mêmes principes, à la différence que, apparement, ce sera les Mini-Mario que l'on contrôlera. Il y aurait aussi un éditeur de niveaux. De bonnes choses, mais pourquoi Nintendo ne nous crée pas un jeu 100% inédit ?

Mais ce qui prouve que Nintendo manque de plus en plus d'imagination, c'est le nombre impressionant de remakes qu'il fait. Voyez les "Super Mario Advance". Pourquoi ne nous a-t-il pas fais des jeux nouveaux, au lieu de ressortir les grands classiques ? Certes, rejouer à d'anciens jeux est plaisant, mais jouer à de nouveaux jeux l'est encore plus... Le dernier remake à ce jouer est "Super Mario 64 DS". Il y a certes des petites nouveautés sympathiques, mais pas de quoi en faire un jeu inédit... Vous n'auriez pas mieux préféré un nouveau jeu Mario en 3D, pour votre portable préférée, franchement ?

Il est vrai que les jeux Mario sont de moins en moins originaux, mais il faut comprendre qu'il est difficile de créer des jeux amusants, longs, passionants, intéressants et inédits. Même si on peut parfois penser que Nintendo ne se remue pas beaucoup, on ne peut qu'être émerveillé par les jeux qu'il nous sort. De plus, avec la Wii qui va bientôt sortir, Nintendo a quand même trouvé le temps de nous refaire de nouveaux jeux, certes peu originaux, mais inédits. Je pense donc que Nintendo va vite se rattraper, et même s'il ressort des remakes, on ne pourra pas lui en vouloir : les classiques sont et resteront toujours d'excellents jeux. Et Nintendo nous propose d'y rejouer : qui s'en plaindra ?

Mario est le personnage de jeu vidéo le plus connu au monde. Peu après sa création, lorsque l'on demandait à un jeune enfant qu'elle était son héros préféré, il répondait 8 fois sur 10 " Mario "… Le Mickey adoré des bambins n'était plus le favoris ! Vu un tel succès, les développeurs n'hésitent pas, et l'italien moustachu apparaît de plus en plus souvent…

La série qui a donné tout son succès à Mario est " Super Mario Bros. ". Révolutionnaire et débordant d'inventivité, cette série propulse Mario dans les summums de la célébrité. Le public en veut plus. Il veut manger du Mario. Et il en sera gavé…

Tout commence en 1989, où une équipe autre que celle de Miyamoto crée un jeu : " Super Mario Land ". Le titre reprend les bases de " Super Mario Bros ", mais ce déroule dans un autre univers et des petites différences ponctuent le jeu. " Super Mario Land " est certes un bon jeu, mais il ne vaut pas le titre qui a fait connaître Mario… Une pâle copie, en somme…

Puis sort en 1992 " Super Mario Kart ", le premier jeu dérivé du moustachu. On ne vas pas s'en plaindre, c'est un titre excellent, très amusant et superbement réalisé. Un bon dérivé, mais ce ne sera pas le cas de tous…

Le personnage de Mario a une popularité folle et fait beaucoup vendre. Mais les développeurs trouvent ses aventures un peu difficiles pour les jeunes enfants et créent alors en 1992 " Mario Paint ", qui est en fait un logiciel de dessin et de musique. L'année suivante, deux jeux assez médiocres et réservés pour les plus jeunes apparaîssent : " Mario is missing " et " Mario's time machine ". Enfin, encore en 1993, Mario s'éloigne de plus en plus de ce genre d'origine en faisant dans l'éducatif avec " Mario Early Years " et " Mario teaches Typing ". Les développeurs voulaient un héros pour tout âge. Avec tous ces dérivés, ils s'y sont parvenus…

Mais ce n'est pas fini, loin de là. Mario revient en 1999 avec " Mario Party ", une variante du jeu de l'oie avec beaucoup de mini-jeux. Ce jeu plaît énormément, car il est bien réalisé et très drôle à plusieurs. Vu son succès, un " Mario Party 2 " sort en 2000 et un troisième opus en 2001… En fait, c'est purement et simplement un Mario Party qui sort tous les ans ! Un, c'est bien. Deux, ça passe. Trois, ça fait beaucoup. Mais sept, c'est pas un petit peu trop ?

Non content de faire la fête avec ses amis, Mario prépare aussi plusieurs championnats de sport. Tennis, golf, baseball, football, basketball... On se demande comment il se débrouille pour garder son ventre bien rond ! On le voit même en train de danser et dans un jeu de flipper ! De plus, grand abus de la part des développeurs, il apparaît également dans des jeux qui n'ont rien à voir avec son univers : SSX2 et NBA Basket !

Quand on y réfléchis, les seul vrais bons jeux de Mario sont ceux qui nous font vivre une aventure et découvrir des lieux remplis de la magie Nintendo... Ainsi, les jeux Mario de plate-forme et de RPG sont de véritables hits. Le problème, c'est que Nintendo, une fois avoir trouvé une idée qui marche, ne la lâche plus... Les 3 SuperMario Bros", les 3 Super Mario Land", les 2 "Super Mario World", les 2"Paper Mario", les 2"Mario et Luigi", "Super Mario Sunshine" qui reprends exactement le même principe que "Super Mario 64"... Ce sont tous de supers jeux, avec chacun une dose de nouveautés, mais ils restent de pâles copies de l'original. Pour résumé, il est dommage que Nintendo réduise Mario à l'état d'homme sportif médiocre, plutôt que de lui laisser son rôle de super héros, qui lui va mieux, d'ailleurs.

Même si, de nos jours, on connaît Wario surtout à travers son industrie "Wario Ware", il ne faut pas oublier qu'il s'agit avant tout d'un "héros" de plate-formes. Wario s'est fait connaître à travers la série "Wario Land", un dérivé et suite de "Super Mario Land". Mais comment Wario a-t-il su concurrencer son cousin Mario, pourtant LA référence des jeux de plate-formes ?

Une série innovante : Wario Land

Le premier jeu où on a la joie de contrôler notre anti-héros préféré est sorti en 1993 sur Game Boy sous le nom de "Wario Land". Ce jeu était relativement très proche de "Super Mario Bros" : des blocs à frapper, des pièces à récupérer, des ennmis à écraser... Mais l'univers était bien différent. En effet, l'action se passait sur l'île Cuisine, occupée par des pirates. Wario a décidé de piller ces derniers pour renflouer ses caisses. Le scénario, très original et bien trouvé, a tout de suite convaincu le public. D'autant plus que les mouvements de Wario sont bien différents de ceux de Mario. Wario ne tue pes les monstres en leur sautant dessus, mains en les attrappant et en les jetant sur d'autres. Wario a également la capacité d'avoir recours à diverses transformations :
- En Wario-taureau, il est beaucoup plus et peut casser les blocs normalment indestructibles. Avec ses cornes, il peut aussi s'attacher au plafond !
- En Wario-Dragon, il est capable de cracher du feu, pour griller sans danger tout ses ennemis.
- En Wario-avion, il est capable de voler sur de courtes distances.
Tous ces petits mouvements supplémentaires permettent à Wario de prendre une place de renom dans les meilleurs jeux de plate-formes. Le public est convaincu, Mario tremble sur son podium... Tout va bien pour Wario !

La suite tant attendue : Wario Land 2

La suite de ce jeu sort en 1998, sous le nom fort original de "Wario Land 2". Le scénario est la suite directe de précédent volet, puisque l'histoire nous montre les pirates de l'île Cuisine venus piller le château de Wario. Ce dernier part donc à leur poursuite pour récupérer ses biens volés.
On retrouve dans "Wario Land 2" toute la recette qui a fais le succès du premier opus plus des nouveautés qui enrichissent considérablement le gameplay. Ainsi, dans ce jeu, Wario est totalement invincible : il nous est donc impossible de perdre ! En contre-partie, à chaque fois que Wario se fait blesser, il perd quelques piécettes... ressource vitale dans ce jeu, puisque tous les bonus s'achètent ! Ce système est une des forces principales du jeu, car il permet à toutes les tranches d'âge de s'amuser.
L'autre aspect très important, c'est le fait que le jeu comporte plusieurs fins différentes. En effet, certains niveaux contiennent des passages secrets et, en les empruntant, le joueur peut faire varier le scénario. Heureusement, une fois le jeu finit une première fois, le joueur a accès à la carte et peut ainsi refaire tous les niveaux pour dénicher tous leurs secrets.
Enfin, "Wario Land 2" se démarque par les nombreuses transformations de Wario. Il peut s'enflammer, se faire congeler, appalatir et même se métamorphoser en zombie ! Ces transformations, assez coquaces, doivent être utilisées avec habilité pour traverser certain passage. Une excellente idée, admirablement exploitée et qui fait de ce jeu l'un des musts de la Game Boy.

Wario Land 3 : sûrement le meilleur jeu de la série

En 2000 sort le trois opus de la série. De nouveau, le scénario se veut fort innovant : Wario se retrouve enfermé dans une boîte à musiques mystique. Pour s'échapper de cette prison, il doit retrouver cinq petites boîtes à musique pour redonner tous ses pouvoirs au maître des lieux.
Contrairement à "Wario Land 2", le joueur a accès à la carte du monde dès le début. Dans chaque niveau se trouvent quatres coffres, un gris, un rouge, un vert et un bleu, ainsi que les clés correspondantes. Pour finir un niveau, il est nécessaire de trouver une des quatres clés et de la ramener au coffre de la couleur correspondante. Le trésor ainsi trouvé nous permet d'avancer sur la carte du monde : une hache nous permet d'abattre l'arbre qui nous bloque le chemin, une flûte permet de réveiller les serpents endormis etc... Comme chaque niveau comporte quatre coffres, et donc quatre trésors à trouver, le joueur est donc obligé de faire au minimum quatre fois chaque niveau. Mais cela n'est pas du tout rebutant, car certain trésor offre de nouveaux pouvoirs à Wario, comme sauter plus haut, frapper plus fort... Le joueur a donc accès à des parties jusqu'à alors innaccessibles de chaque niveau, et l'enthousiasme de nouvelles découvertes ne s'éteint jamais !
De plus, tout comme dans "Wario Land 2", Wario est complètement invincible, ce qui permet aux plus jeunes de bien s'amuser. Wario peut bien évidement subir toujours autant de transformations : devenir tout plat, se faire congeler, grossir, zombifier... A cela s'en ajoutent même des nouvelles Wario peut ainsi devenir invisible, se faire enfermer dans des boules de fils et même se transformer en vampire ! De ce point de vue, "Wario Land 3" est le plus aboutit de la série, ce qui en fait un must du genre, et probablement le meilleur jeu de plate-formes sur Game Boy Color.

Le passage GBA : un peu décevant...

L'année suivante, c'est-à-dire en 2001, Wario s'essaye sur Game Boy Advance. "Wario Land 4" est ainsi crée. Mais force est de constater que l'anti-héros s'essouffle un peu.
Le scénario est toujours aussi peu commun : Wario explore une ancienne pyramide pour y dénicher des richesses variées. La pyramide contient quatre zones principales, composées chacunes de quatre niveaux et d'un boss. Chaque niveau comporte bien sûr énorméments de secrets, mais surtout un morceau d'une plaque étrange et un mystérieux fantôme-clé. Il est nécessaire de récupérer le premier pour accéder au boss de la zone, et le second objet s'avère indispensable pour ouvrir la porte menant au niveau suivant.
Le jeu s'annonce donc excellent, comme tous ses grands frères, mais les dévelopeurs ont réinstauré la mortalité de Wario. Wario a désormais une barre de vie, ce qui signifie qu'il peut mourir. Le principe qui a participé au grand succès des "Wario Land" 2 et 3 a tout simplement disparu ! Fort dommage, car les plus jeunes, publique principalement visé, ont moins le loisir de s'amuser dans "Wario Land 4", car la difficulté est en conséquence bien plus élevée. De plus, on constate avec regret que les transformations de Wario ont une place bien moins importante que dans les précédents volets...
Malgré tout, "Wario Land 4" reste un des meilleurs jeux sur GBA. Les graphismes soignés, la maniabilité parfaite et les niveaux admirablement construits en font une des références Nintendo à posséder. Mais il nous manque toutefois un petit quelque chose, ce petit détail qui faisait de "Wario Land 3" une pure merveille...

L'arrivée sur DS : un retour déconcertant

Il ne s'agit pas vraiment d'un "Wario Land" à proprement parlé, mais il s'en approche par bien des aspects. Tout d'abord, et fidèle à ses habitudes, Wario peut se transformer en diverses créatures, lui octroyant des pouvoirs spéciaux. Au nombre de 8, on constate plusieurs inédits, comme le marin ou le cosmonaute. On perd cependant les classiques comme le zombie ou la congélation instantanée... De plus, les développeurs ont gardé le principe de la barre de vie. Il faut croire que l'immortalité de wario das "Wario Land" 2 et 3 ne reverra plus le jour, ce qui est bien dommage. Cependant, et contrairement à l'opus précédent, les transformation ont une place très importante, puisqu'il est nécessaire de jongler entre tous les déguisements pour progresser. Les niveaux ne sont plus de bêtes phases de plate-forme, mais de véritables parties d'exploration et de recherche pour arriver à bon port. Un épisode assez innovant, donc, mais surtout très déconcertant. Et les fans n'apprécieront pas forcément... "Wario : Master Of Disguise" reste cependant un excellent titre, digne de ses prédécesseurs, malgré son esprit très éloigné.

Une série qui a bouleversé les joueurs

La série des "Super Mario Bros" et celle qui a le plus bouleversé les joueurs. En effet, contrairement à d'autres jeux qui suivent toujours le même principe ( Sonic ou Rayman, notamment ), chaque nouvel épisode de cette série a marqué par son lot de nouveautés. Même si le principe est toujours le même ( jeu de plate-forme en 2D avec des ennemis fantastiques et divers bonus ), on retrouve dans chaque opus LE petit truc qui le démarque d'un jeu ordinaire. C'est cela qui fait la force des "Super Mario Bros" : le fait de toujours surprendre le joueur.

La révolution est en marche : Super Mario Bros

Nous sommes en 1985 et le monde est en ébullition. "Super Mario Bros" est disponible et il change complètement les habitudes des joueurs. Eux qui étaient habitués aux "Game&Watch", ces petits jeux à un seul écran chacun, les voilà soumis à un véritable jeu de plate-formes à défilement horizontal de l'écran, appelé "scrolling". De plus, le système de collecte, tout nouvau à l'époque, fascine les joueurs.

C'est la première fois qu'un jeu offre un système d'élan et d'inertie sur le héros, la première fois qu'un jeu possède une durée de vie si grande avec pas moins de huit mondes, et la première fois que les joueurs peuvent chercher des secrets et des bonus cachés dans les niveaux. Aujourd'hui, cela paraît peu, mais cela est la fondation des bases et le minimum des jeux de plate-formes d'aujourd'hui, alors imaginez le choc du monde entier face à cette merveille !

Et imaginez sa joie lorsque, la même année, Nintendo décide de sortir la suite "Super Mario Bros 2", malheureusement qu'au Japon. Les autres nations découvriront se titre que plus tard, en 1993, sous le nom de "Super Mario Bros : The Lost Levels". Ce jeu reprend tous les principes que le premier. Défilement horizontal de l'écran, même ennemis, même palette graphique, même nombre de niveaux... La seule différence est l'extrème difficulté du jeu, dans lequel les développeurs semblent avoir déversés toute leur réserve de sadisme et de perfidie. Cela dit, "Super Mario Bros : The Lost Levels" reste un excellent challenge pour tous les pros du genre !

Un autre jeu bouleversant : "Super Mario Bros 2"

Voilà un point assez complexe de l'histoire de la série. Rappelez-vous, "Super Mario Bros 2" est déjà sorti au Japon, et il le sera en Europe en 1993. Pourtant, en 1988, sort en Europe "Super Mario Bros 2"... Sachez que ce jeu est sortit aussi au Japon sous le nom de "Super Mario Bros 2 : Doki Doki Panic". Le véritable "Super Mario Bros 2", donc le futur "Super Mario Bros : The Lost Levels" ( vous suivez ?^^ )a été jugé trop difficileet a été remplacé par celui-ci. Beaucoup plus facile, et aussi beaucoup plus inventif, Nintendo a fait d'une pierre deux coups et a permis de continuer la légende des "Super Mario Bros".

Le jeu en lui même bouleverse totalement les bases de "Super Mario Bros" : fini les champignons, fleurs de feu et pièces ! Au revoir Goomba, Koopas et Bowser ! Vous trouverez à la place des cerises, des coeurs, et comme ennemis des ShyGuys, Bob-ombs et Birdo ! Ces derniers resteront par ailleurs dans l'histoire de Mario.
La première surprise lorsque le joueur joue, c'est la présence de porte, totalement absentes dans les premiers opus. Le deuxième truc très surprenant, c'est le fait que Mario ne tue plus ses ennemis en sautant dessus ! Il déterre à la place des légumes pour les jeter sur ses adversaires... Déconcertant ! ENfin, il est possible de jouer aussi avec Luigi, Toad et Peach ! Une grande première !
Malgré ces énormes différences, le jeu plaît autant au public, si ce n'est plus. Mais Nintendo vise plus haut... Beaucoup plus haut...

Le plus grand succès de Mario : Super Mario Bros 3

C'est ainsi que sort en 1990 "Super Mario Bros 3". Et c'est le succès le plus fou du monde du jeu vidéo : 18 000 000 exemplaires vendus, ce qui fait de ce jeu le plus vendu de l'histoire ! Et lorsque que l'on voit ce qu'il a dans le ventre, on comprend pourquoi. Des nouveautés à la pelle et une inventivité hors normes. Le dernier jeu Mario sur NES, mais quel jeu !

La première nouveauté est l'apparition de la carte des mondes, sur laquelle le joueur choisit son prochain niveau. Excellente idée, cela permet aux moins bons de sauter les niveaux trop difficiles pour eux ! Ensuite, après le scrolling horizontal iventé par "Super Mario Bros", premier du nom, cet opus emmène le scrolling diagonal !
Les niveaux ne sont plus forcément linéaires, de gauche à droite, mais peuvent aussi être de bas en haut, et peuvent même exiger des demi-tours ! Enfin, le nombre impressionnant de nouveaux costumes offre à ce jeu une étendue exemplaire, et il reste pour beaucoup le meilleur jeu Mario de tout les temps.

Le nouveau venu : New Super Mario Bros

Durant cette année 2006 est sortit le nouveau né des "Super Mario Bros". Comme ses aînés, celui-ci surprend. Tout d'abord parce que ses personnages sont en 3D et qu'ils évoluent dans un univers en 2D. Et ensuite parcequ'il contient très peu de nouveautés. Mais malgré tout, le plaisir est là. On retrouve les éléments qui ont fait le succès de la série, le jeu est très maniable et magnifique. Le peu de nouveautés laissent tout de même un air de frais au jeu. Même si on est déçu par la trop grande facilité du jeu, on ne peut qu'être charmé par les nombreux clins d'yeux aux autres opus, dont ceux de la série "Super Mario World". Du grand Nintendo !

Les inspirations et les plagiats honteux

Ha, "Super Mario Bros" ! Changer de taille en prenant un champignon, passer de la surface aux monde sous-terrain en un clin d'oeil, des tortues volantes, des champignons qui parlent... Lorsque l'on y pense, le Royaume Champignon est un monde complètement loufoque ! Il rappelle curieusement le monde d'"Alice au Pays des Merveilles", de Lewis Caroll. Et ce n'est pas un hasard ! Nintendo avoue s'en être inspiré énormément ! De plus, les lianes montantes menant vers les niveaux bonus font étrangement penser à "Jacques et le Haricot Magique", de Robert Giraud, vous ne trouvez pas ?

La plus grosse et honteuse copie que Nintendo a du subir est le jeu "Great Giana Sisters", sorti en 1987. Les niveaux sont pratiquements les mêmes, les manipulations identiques et le système également. On pourrait presque croire que les développeurs ont juste changés les sprites ! Nintendo leur a lancé un procès et l'a heureusement gagné !

Les fondations de la série

Allez savoir pourquoi, un beau jour Ninendo en eut marre de nous donner de bons jeux de plate-formes en 2D. Il voulait du nouveau. Créer une révolution ! Une nouvelle mode ! Il fallait fabriquer un jeu très fun, pouvant se jouer à plusieurs et visant tout public. Le jeu idéal, en somme... Mais quel genre pouvait jouer tous ces rôles à la fois ? L'idée fut tout de suite lancée sur un sport. Oui, mais lequel ? Le football ? Populaire en Europe, mais pas assea ailleurs... Le Tennis ? Pas assez de possibilités... Le kart ? Pas assez de... Hé ! Mais si ! C'est excellent comme idée, le kart ! Tu peux faire des circuits dans le royaume champignon, tu peux utiliser des objets délirants, cachés pas mal de bonus... Allez hop ! Adjugé vendu pour le kart !

Le début d'une légende : Super Mario Kart

C'est ainsi que sort en 1992 "Super Mario Kart",où l'on découvre Mario dans un tout nouveau genre. Et cela plaît énormément ! On peut incarner Mario, Luigi, Peach, Yoshi, Toad, DK, Bowser et Koopa. Pour arriver en tête, ils se balancent des carape vertes et rouges, des bananes, utilisent des turbos-champignons... Il y aussi les pièces qui accelèrent légèrement la vitesse du kart et la plume qui le fait sauter pour éviter des obstacles... On récupère les armes en passant sur des case jaunes qui deviennent rouge lorsqu'on a pris son objet. L'originalité réside dans le fait que lorsqu'une case est rouge, elle le reste jusqu'à la fin de la course, et ne délivre plus d'armes !
Il est possible de jouer à ce jeu mythique à deux joueurs. On peut alors faire un Grand Prix, faire un duel ou le mode bataille. Des classiques restés inébranlables qui ont fondé l'âme de la série et qui ont provoqué son succès. Tous ces éléments apparaîtront d'ailleurs dans tous les autres épisodes de la série.
Les graphismes du jeu ne sont pas excellents, mais cela est fait exprès pour ne pas gêner le joueur de détails pour ne laisser la place qu'au plaisir de jouer. Le créateur de "Super Mario Kart" peut être fier de lui : il a inventé le début d'un véritable phénomène...

Le passage à la 3D : Mario Kart 64

L'arrivée de la Nintendo 64 permet à Nintendo de recréer un autre Mario Kart en 1997 : "Mario Kart 64". Avec des graphismes correctes pour la console, des animations assez fluides et une maniabilité parfaite, ce jeu est le digne successeur de "Super Mario Kart". Les mêmes principes ont été gradés : les personnages de Nintendo concourent pour être à la première place du championat. Koopa Troopa n'est plus jouable, car Nintendo a préféré mettre à la place Wario, vu son récent succès. Notez que Kamek devait être jouable à la place de DK. Le premier nom de "Mario Kart 64" était "Super Mario Kart R".
Mais le jeu n'est pas qu'une vulgaire copie plus évoluée de "Super Mario Kart", loin de là ! Il regorge de nouveauté qui resteront gravées dans la série : les triples carapaces, le régime de bananes, le Méga-Champignon, la @%§¤& de carapace bleue qui ne frappe que le premier... "Mario Kart 64" est considéré par beaucoup comme le plus fun de la série !

Le bonheur où que l'on soit : Mario Kart Super Circuit

Nous sommes en 2001 est le succès de la GBA est à son summum. Il ne lui manque plus qu'une chose : son Mario Kart. Nintendo a pensé à tout et nous présente "Mario Kart Super Circuit". GBA oblige, le jeu est très soigné, mais pas en 3D. Il n'y a pas de nouveautés notables sur cet opus, outre le fait qu'il offre l'immense plaisir de jouer partout ! De plus, le grand bonus du jeu : si vous avez un ami qui possède une GBA mais pas le jeu, vous pouvez quand même jouer contre lui !
Le jeu possède 20 circuits inédits, plus 20 autres tirés de "Super Mario Kart". Vous pouvez aussi échanger vos fantômes du Contre-la-montre pour que vos amis puissent essayer de battre vos record. Un must ! Une fois n'est pas coutume, le jeu connaît un grand succès et il s'arrache comme des petis pains à sa sortie. Mais les joueurs demandent plus de nouveautés... Et ils ne seront pas déçus...

La révolution : Mario Kart Double Dash !!

Les temps passent et Nintendo reposent sur ses lauriers vraiment mérités. Mais la Game Cube sort et il est temps de créer un Mario Kart digne de la nouvelle console. Un Mario Kart qui va chamboulé les joueurs. Un Mario Kart remplis de nouveautés ! "Mario Kart : Double Dash !!" est ainsi né en 2003, et Nintendo a tenu sa promesse : ce Mario Kart est tout ce qu'il y a de plus de nouveau. Deux joueurs par kart, pas moins de 20 personnages, 16 circuits inédits, l'apparition des armes spéciales, de nouveaux modes batailles... Le plus complet de tous les Mario Kart !
Nintendo a fait très fort sur ce coup : les graphismes sont tout simplement magnifiques et la maniabilité irréprochable. Si vous n'êtes pas premeir, c'est uniquement de votre faute ! Nintendo inclue aussi le système des mini-turbos à déclencher lors des dérapages. La conduite devient alors très technique. Mélanger de la technique barbante avec des bonus délirants, un cocktail magique signé Nintendo, qui permet à toutes les catégories de joueurs de bien s'amuser.

Le monde à portée de main : Mario Kart DS

2005. La DS, d'abord très critiquées, et maintenant dans le top des ventes. Il est donc tout naturel que Nintendo lui réserve son Mario Kart. Mais comment faire pour qu'il surpasse celui de la Game Cube ? Que n'a donc pas le merveilleux "Mario Kart Double Dash !!" pour ne pas être le jeu parfait ? La réponse saute aux yeux : la connection Internet... Défier les jouers du monde entier, tel est le rêve de tous les joueurs de Mario Kart ! Et ça tombe bien, la DS a les capacités à se connecter à Internet... "Mario Kart DS" sera donc un jeu compactible sur le Net, ou ne sera pas ! Et heureusement, pour notre plus grand bonheur, "Mario Kart DS" sera bel et bien créer !
Outre le fait qu'il puisse être connecté sur le Web, "mario Kart DS" offre aussi son lot de nouveautés : chaque personnage possède désormais trois karts chacun, tous différents. Tous les personnages peuvent prendre n'importe quel kart et il y a 12 personnages et donc 36 karts. Cela fait donc... 432 combinaisons possibles ! ( du moins si je n'ai pas fait d'erreurs de calcul^^ ) Ajoutons à cela deux nouvelles armes... Un must sur DS !

Le volant et le guidon entre les mains : Mario Kart Wii

La Wii accueille sont Mario Kart en 2008. Pour la première fois depuis des années, l'Europe peut découvrir ce jeu avant les américains ! Le 11 avril, tous les européens peuvent donc s'offrir la suite de la série tant attendue. Comme d'habitude, le jeu se la joue "inventif" et propose pas moins de jouer contre 11 adversaires sur un même circuit, et ce avec un volant ! Le joueur a alors l'impression d'être dans le kart, et tourner devient très instinctif. Malheureusement, les habitués de la série ont du mal à s'adapter à cette nouvelle maniabilité, et ils préfèrent se rabattrent sur des commandes plus classiques, via la manette Game Cube.
Notons aussi l'apparition de motos et de figures dignes des plus grands cascadeurs, et nous avons un Mario Kart tout à fait nouveau, plus "djeunz".
Les purites n'apprécieront peut-être pas, mais Nintendo a pensé à tout en permettant de régler à peu près toutes les configurations du jeu pour permettre à chacun de trouver chaussure à son pied. On regrette cependant le manque de différences concrètes entres les personnages et l'absence des objets spéciaux, qui faisaient tout le charme de Double Dash... Mario Kart Wii roule cependant sur le même chemin que ses aînés, et les fans attendent d'ores et déjà l'opus suivant !

L'apparation des armes dans la série

Objet	Super Mario Kart	Mario Kart 64	Mario Kart Super Circuit	Mario Kart Double Dash !!	Mario Kart DS	Mario Kart Wii
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En voilà un personnage étrange. Mal fichu, maigre comme un clou et démesurément grand, Waluigi n'a rien pour lui. Il fait pourtant partie du monde de Mario, et ce malgré une carrière tout aussi étrangère que lui. Mais qui se cache vraiment derrière Waluigi ?

Ses débuts ingrats

La création de Waluigi n'est pas des plus enviables. Nous sommes en 2000, et le jeu "Mario Tennis" va sortir sur Nintendo 64. Comme chacun le sait, le tennis permet de jouer des matchs en double, et il était tout naturel de mettre en équipe Mario et Luigi. Cependant, si Mario avait déjà son rival, qui répond au doux nom de Wario, Luigi n'avait personne contre qui se mesurer. Nintendo a donc l'idée de créer Waluigi, qui se mettra en double avec Wario pour affronter les frères Mario dans des matchs endiablés... Et oui, vous l'avez compris, la création de Waluigi a fait office de... bouche-trou. Beau début de carrière.

Une trèèèèèès lente évolution.

Depuis Mario Tennis, Waluigi n'a que très peu changé de rôle. En effet, on ne le voit que dans les jeux Mario Multi-joueurs, que ce soit les Mario Party ou les Mario Sport. La seule exception est "Dancing Stage Mario Mix", sur GameCube, dans lequel il apparait comme l'un des boss du jeu. On ne voit donc Waluigi que dans des jeux de qualités mitigées, ce qui ne facilite pas la popularité de l'étrange bonhomme. Alors que Mario est le héros incontesté de Nintendo, que Luigi semble enfin avoir trouvé son chemin avec "Luigi's Mansion" et que Wario a crée son propre style, Waluigi est le seul personnage de la clique à ne pas avoir eu son propre jeu. Et il semblerait bien que ce n'est pas près de changer...

Quelques secrets

Waluigi est donc un personnage très mystérieux, et on ne sait pas grand chose de lui. Ayant été crée un peu "à l'arrache", ses liens de parentés avec les autres personnages sont assez difficiles à établir. Est-il le cousin de Mario ? Un ami de la famille ? Le paumé du coin ? Selon le site officiel de Mario Kart DS, Waluigi serait le frère de Wario. Ce dernier étant le cousin de Mario, il semblerait que Waluigi soit donc également le cousin de Mario.
Il serait également intéressant de savoir quel est le métier de Waluigi. Alors que Mario et Luigi sont plombiers et que Wario est un voleur, on ne sait rien du job de Waluigi, et on ne peut donc faire que des hypothèses. Waluigi a son propre circuit dans "Mario Kart Double Dash !!", appelé Stade Waluigi : le personnage serait-il un gladiateur ? Cela semble peu probable... Dans "Mario Kart DS", son circuit est un flipper, et il est dit que c'est lui qui l'a construit lui-même... Intéressant. De plus, Waluigi dispose de sa propre map dans "Mario Party 3", trufée de pièges... et également fabriquée par lui-même ! Waluigi serait-il bon bricoleur ? L'hypothèse tend à être confirmée dans "Mario Kart DS", dans lequel un de ses karts se révèle être... une pelleteuse de chantier. Sans en être sûr, nous pouvons donc penser raisonnablement que Waluigi bosse dans la construction.

En conclusion

Waluigi est donc quelqu'un de peu important dans l'univers de Mario, bien que de plus en plus de fans l'apprécient. Ses différentes apparitions sont en effet toujours amusantes, et son air de mauvais garçon boudeur et maladroit peut en séduire plus d'un. Cependant, Waluigi ne semble pas assez populaire pour avoir son propre jeu de sitôt... Les fans peuvent cependant se consoler, car il apparait dans "Super Smash Bros Brawl", mais en tant que trophée aide, et non en tant que personnage jouable. C'est déjà mieux que rien, pour un personnage à l'avenir si incertain...

Tout comme Goomba, Koopa est un ennemi de bases dans les jeux Mario. Assez lent, assez stupide, il reste toutefois plus dangereux que son collègue champignon... Analyse de cette drôle de tortue, décidément pas comme les autres...

Son histoire

Le Koopa est le soldat principal de l'immense armée de Bowser. Il obéit aveuglément aux ordres de son roi, sans chercher à réfléchir de par lui-même. Tout comme Goomba, il semblerait que certain Koopa aient trahis Bowser pour vivre une existance paisible au Royaume Champignon, ce qui expliquerait la présence de gentils Koopa dans les "Paper Mario".
On voit Koopa pour la première fois en 1983 dans le jeu "Mario Bros", dans lequel il envahit les égoûts. Notez qu'à l'époque, Koopa était quadrupède. On retrouve notre tortue en 1987 dans "Super Mario Bros". Elle est toujours quadrupède, mais elle peut cette fois-ci disposer d'ailes, lui permettant de voler. On l'appelle alors Paratroopa. On découvre dans ce jeu un nouveau type de Koopa, bipède, celui-là, le Frère Marto, ainsi qu'une tortue sur un nuage (!) : Lakitu. Ce n'est qu'en 1991, dans "Super Mario World", que le Koopa de base devient bipède. On y découvre également une nouvelle sorte de Koopa : le Magikoopa, qui deviendra plus tard Kamek. On y découvre également les Superkoopas, ces tortues volantes avec une cape. Par la suite, tous les futurs Koopas se ressembleront physiquement, avec généralement pour seule distinction la couleur de la carapace. Carapace qui confère des capacités particulières à son propriétaire en fonction de sa couleur, si l'on en croit encore les "Paper Mario".

La vie après la mort...

Les Koopas sont une espèce très intéressante. En effet, et depuis "Super Mario Bros 3" en 1990, on découvre Ossec, qui sera plus tard Skelerex, qui est tout simplement le squelette vivant de Koopa. Presque invulnérable, il a la particularité de se recomposer à chaque fois qu'on l'écrase. On le retrouvera assez souvent par la suite, notamment dans "Super Mario World", les "Mario & Luigi", les "Paper Mario" ainsi que d'autres. Skelerex a pris tellement d'importance dans le monde de Mario qu'il est même possible de le contrôler dans "Mario Kart DS" ou "Mario Superstar Baseball" ! Qui aurait cru que même morte, la petite tortue si insignifiante en apparence aurait une place si prestigieuse ?

Un personnage multi-fonctions

Le truc sympa, avec Koopa, c'est qu'il permet d'envisager toutes sortes de situations. Ainsi, en tant qu'ennemis de base, il peut s'avérer énervant avec sa carapace qui rebondit à la manière d'une balle de flipper. En tant qu'allié ( dans les "Paper Mario", encore et toujours !), on peut se servir de la carapace de Koopa comme une boule de bowling pour déglinguer tous nos ennemis. Dans les jeux multi-joueurs, il n'est pas rare d'utiliser les carapaces comme projectiles pour gêner nos adversaires. Notons au passage que les carapaces rouges sont toujours à tête chercheuse, alors que les vertes peuvent rebondir n'importe où. Le problème scientifique est de savoir en quoi cette différence de couleur peut changer leur propriété de rebond, mais passons... Comme on en est à parler des Mario-sports, voici une petite anecdote : il semblerait que notre Koopa, dont en parle tant depuis quelques minutes, serait non pas une tortue terrestre, mais une tortue marine ! En effet, lorsque vous activez ses frappes spéciales dans "Mario Power Tennis" sur Game Cube, vous constaterez qu'elles ont toutes les deux un lien avec l'eau... Est-ce tout simplement un pur hasard ? C'est probable, car on a jamais vu de Koopa sous l'eau... Mais sait-on jamais, Nintendo est parfois cachotier !

Les chefs Koopa

Comment pouvoir parler des Koopas sans faire allusion à leurs chefs ? Tout le monde pensera en premier à Bowser, bien sûr. Le tyran du monde de Mario, le grand méchant de (presque) tous les jeux... Pour en savoir plus sur lui, consultez sa biographie !
Les Koopas ont également un autre chef, Boom-Boom, qui occupe les forteresses de "Super Mario Bros 3". Boss assez basique, il suffit de lui sauter trois fois dessus pour s'en débarrasser. Il est cependant capable de s'envoler pour écraser Mario !
Enfin, il ne faut pas oublier les sept enfants de Bowser, les Koopas Kids : Iggy Koopa, Larry Koopa, Lemmy Koopa, Ludwig Von Koopa, Morton Koopa Jr., Roy Koopa et Wendy O'Koopa, la seule fille du groupe. Vous constaterez des bizzareries dans leur nom : pour Morton Koopa serait plus "Jr." (junior) que les autres ? Pourquoi Ludwig a le mot "Von" ajouté dans son nom ? Tout cela s'explique assez facilement. En effet, chacun de ces sept noms est en fait une référence à des compositeurs. Ainsi, Ludwig Von Koopa fait référence au très célèbre Ludwig Von Beethoven. Et cela fonctionne pour chacun des six autres ! Iggy Koopa a pour origine Iggy Pop, un artiste rock américain des années 60-70. Lemmy Koopa proviendrait de Lemmy Kilmister, un artiste du groupe "Motörhead". Roy Koopa serait une parodie de Roy Orbison, un chanteur de rock anglais des années 80 (on remarque également que les lunettes de Roy Koopa ressemblent beaucoup à celles du chanteur !). Wendy O'Koopa serait un nom inspiré par Wendy O' Williams, chanteuse du groupe "Plasmatics". Morton Koopa Jr. aurait pour origine Morton Downey Jr. (ce qui explique le "Jr." !), qui était un acteur et un chanteur américain. En ce qui concerne Larry Koopa, on n'est pas sûr de son origine... Peut-être vient-il de Larry Harlow, compositeur américain ? Nul ne le sait, et ceci n'est donc qu'une hypothèse, à prendre avec recul.

Koopa un jour, Koopa toujours

Quoiqu'il en soit, les Koopas semblent condamnés à perdre. Ils sont rien sans leur carapace, dont il est très facile de les y déloger. Cependant, les Koopas permettent des possibilités très intéressantes, et on peut compter sur Nintendo pour les exploiter ! On ne risque pas de voir partir Koopa de si tôt : il fait en effet au moins une apparition dans chacun des jeux Mario (sauf l'exception "Super Mario Bros 2" ^^), preuve qu'il est tout simplement indispensable. Un jeu Mario sans Koopa, c'est comme un steack-frites sans frites : ça reste bon, mais ça perd beaucoup de sa saveur...

Ha, le Goomba ! Quel joueur de Mario n'en a jamais écrasé un ? Mais à force de les écrabouiller, vous devez commencer à les connaître, non ? Au cas où, voici un petit focus sur l'ennemi des premières heures...

Un peuple divisé.

Saviez-vous que, à la base, Goomba était un personnage gentil ? Le peuple des Goombas vivait en paix dans tous le Royaume Champignon, en compagnie des Toads et des autres habitants. Cependant, à l'arrivée des troupes de Bowser, dans "Super Mario Bros" (qui marque le début des aventures de Mario), plus de la moitié des Goombas ont pris peur et se sont raliés au dragon. Ce qui explique le fait que, dans les "Paper Mario", on rencontre des Goombas gentils. Le peuple Goomba est donc divisé en deux groupes : ceux alliés au Royaume Champignon, et les traîtres, sous le service de Bowser.

Les différentes apparitions des Goombas au fil des jeux.

La première apparition de Goomba est donc "Super Mario Bros", en 1985. A l'époque, Goomba n'avait pas de bouche. Cependant, il existait déjà trois sortes de Goombas : les marrons, ceux de base; les bleus, ceux des sous-terrains; et les gris, ceux des châteaux. Mais outre la couleur, ces trois types de Goombas étaient parfaitement identiques...

On retrouve les Goombas en 1990, avec un look légèrement différent : ils sont un peu plus grand, ont une bouche et ressemblent un peu plus aux Goombas que l'on connait aujourd'hui. On découvre également de nouvelles sortes de Goombas : les minuscules Micros-Goombas, qui entravent les mouvements de Mario, les Para-Goombas, qui attaquent par la voix des airs, et les Goombas Géant, au moins deux fois plus grand que la moyenne... mais toujours aussi faible.
On retrouve également Goomba en 1992, dans "Super Mario World". Là, il a complètement changé : il ressemble plus à un ballon qu'autre chose... Mario est même capable de le porter et de le lancer ! Cela donne presque l'impression que Goomba devient de plus en plus faible au fil des jeux... mais loin de là, et heureusement pour lui !

En effet, dans tous les Mario-RPGs, comme les série "Paper Mario" et "Mario & Luigi", il existe une multitude de sortes de Goombas. Chose amusante, les développeurs ont repris les différents types de Goombas de "Super Mario Bros", en faisant cette fois varier leur puissance. Ainsi, il n'est pas rare de rencontrer des versions plus ou moins évoluées de la même espèce. De plus, de nouveaux types font leur apparition, comme le Goombapic, qui possède à casque à épines, ou encore le Goomba-Tanooki, qui peut se transformer en diverses choses; provoquant un effet de surprise...
Enfin, il n'est pas rare de voir Goomba dans les jeux Mario-multijoueurs. Il sert principalement d'arme et d'obstacle...

Les apparences de Goomba au cours du temps.

Jeu	Console	Année	Apparence
	NES	1985
	GB	1989
	NES	1990
	SNES	1992
	GB	1993
	GB	1993
	SNES	1993
	SNES	1993
	SNES	1993
	GB	1993
	SNES	1995
	SNES	1996
	N64	1996
	GBC	1998
	N64	2001
	GC	2002
	GBA	2003
	GC	2004
	GBA	2004
	GBA	2005
	DS	2006
	DS	2006

( Merci à Toadgui pour certaines images ;-) )

Quelques petites explications pour le tableau ci-dessus.

Tout d'abord, je n'ai pas mis tous les jeux 3D où Goomba apparaît, et pour deux raisons : l'évolution graphique n'est pas énorme; et parce que les images trouvées ne sont pas de superbe qualité...
Ensuite, vous pouvez remarquer une race de Goomba particulière aux "Wario Land" : cela est dû qu'il ne s'agit pas vraiment de Goomba, mais de "Goom". Dans la série des Wario Land, ce sont des pirates gardabt fièrement leurs trésors. Curieusement, ils n'apparaissent pas dans Wario Land 3... Mais on peut tout de même les considérer comme des Goombas, de part leur physique et leur nom très ressemblant.
Ensuite, vous avez peut-être eu la surprise de voir que Goomba apparaît dans un jeu Zelda. Sachez que ce n'est pas le seul personnage de Mario présent dans ce jeu. En effet, dans "Link's Awakening" , le joueur peut croiser un Chomp, des Plantes Pirhanes, des Cheep-Cheeps, des Bloups, des Bob-ombs, des Twhomps, des Mashass, des Pokeys, Yoshi et même Wart ! Il y a également un petit monstre qui ressemble étrangement à Kirby... De plus, dans "Minish's Cap", on se bat parfois contre des Lakitus. Mais on dérive un peu du sujet principal, là ^^ Bref, tout ça pour dire que Nintendo s'amuse à insérer des cameos de plusieurs de ses personnages dans ses jeux :p

Et Goomba, dans tout ça ?

Il est vrai qu'on a un peu oublié notre ami Goomba... Mais le pauvre à l'habitude, désormais. Assez souvent considéré comme inutile, servant juste d'entraînement pour les nouveaux joueurs, il semblerait que le destin de Goomba est de se faire écraser avec un gros SPLOTCH en guise de requiem. Destin peu glorieux, il est vrai, mais la vie d'un champignon traître ne peut être rose tous les jours... Cela dit, son rôle de punching-ball est irremplaçable : il est très probable que Goomba continue à se faire maltraiter encore à l'avenir. On imagine mal une autre créature pour le remplacer. Car, franchement, que seraient nos jeux Mario sans ce petit personnage si naïf ? Son futur professionnel est donc assuré... même s'il s'en serait bien passé...

Après avoir vu des tortues volantes et des champignons qui parlent, quoi de plus naturel que de rencontrer des bombes qui marchent ?

Un ennemi pas dangereux

C'est dans le jeu le plus déroutant de Mario qu'apparaissent pour la première fois les Bob-ombs. C'est en 1988, dans "Super Mario Bros 2". C'est un monstre pas bien dangereux car il se déplace lentement. De plus, il s'autodrétuit tout seul ! Le seul danger qu'il représente et la portée de son explosion, qui peut être délicate à éviter... Mais le bon côté des choses, c'est que cette explosion est très puissantes, et peut donc casser la plupart des obstacles sur le chemin de Mario !

Une carrière... explosive

Depuis "Super Mario Bros 2", Bob-omb apparaît dans presque tous les jeux, de "Super Mario Bros 3" à "Super Mario 64". Bizarrement, il n'apparaît pas dans "Super Mario World 2 : Yoshi's Island"... Mais cela ne veut pas dire qu'il est abandonné, loin de là... On le revoit en 2001 dans "Paper Mario", où il est un ennemis encore plus redoutable ( pas bien difficile, en fait xD ). Dans ce jeu, Mario a également un partenaire Bob-omb, très utile et puissant !
On le revoit peu après, en 2002, dans "Super Mario Sunshine", où il change totalement de look. Il est très moche, et on l'oublie vite. Heureusement, par la suite, il gardera son physique d'origine !

Réduit à un simple objet...

"Mario Kart Double Dash !!" sort en 2003, et on aurait pu s'attendre à voir un circuit avec des Bob-ombs qui se balladent. Malheureusement, elles sont bien présentes, mais sous forme d'objet spécial de Wario et Waluigi... Dans les nouveaux Mario Party, Bob-omb est une capsule qui vole les pièces des autres joueurs. Dans les "Super Smash Bros", elle était une arme très puissante qui envoyait valser les adversaires au loin. Des rôles certes ingrats, mais cela permet à Bob-omb de ne pas se faire oublier.

Les sortes de Bob-omb

"Il existe plusieurs types de Bob-omb, ce qui renforce leur importance. Il y a tout d'abord la noire, la toute simple. On trouve également les roses, qui sont pacifiques. On trouve également dans les "Paper Mario" et "Mario & Luigi" de grosses Bob-omb, dont l'explosion est impressionante. Il existe aussi le Roi Bob-omb, le chef des champs de bataille. Enfin, la dernière sorte de Bob-omb en date est le Bob-omb folle ( nom perso^^ ), dans "New Super Mario Bros", qui court dans tous les sens une fois enflammée.

Flora Pirhana est une plante carnivore étonnante. Sa carrière dans le monde des jeux vidéos n'est pas si vielle et, pourtant, elle possède déjà des rôles importants. Portrait sur ce personnage très étrange.

Une plante pas comme les autres

Flora Pirhana apparaît pour la première fois dans "Super Mario Sunshine", en 2002. C'est une plante carnivore géante qui crache de la boue partout. De cette boue naît parfois des plantes Pirhanas de boue. Etrange pouvoir plus une plante, non ? De plus, elle semble ne pas aimer l'eau, alors que toute plante en a besoin pour grandir. Enfin, elle est capable de voler. Le monde de Mario n'est pas connu pour sa logique, mais là, Nintendo à fait fort !

Une puissance incroyable

Alors que la plupart des plantes sont chétives et faibles, Flora Pirhana possède une force surhumaine ( normal me direz-vous, ce n'est pas un humain^^) Elle est bien plus forte que Donkey Kong ou Bowser. Wario est un pauvre petit faiblard à ses côtés et mario, mieux vaut ne pas le comparer ! Malgré qu'elle soit apparue fort récemment, elle apparaît dans des jeux importants, comme "Mario Power Tennis" en 2005, "Mario Golf Toadstool" en 2004 ou encore "Mario Superstar Baseball" en 2005. Dans tous ces jeux, c'est le personnage le plus puissant, sauf dans "Mario Superstar Baseball", où elle est quand même plus forte que la moyenne. Cette force incroyable se compense par une vitesse très médiocre. Elle apparaît également dans "Mario Kart Double Dash !!" en 2003.

Un avenir presque assuré

Flora Pirhana a réussi l'exploit de s'incruster dans les jeux Mario sport seulement un an après sa première apparition. Cela prouve que Nintendi tient à elle. Malheureusement pour elle, son imposante taille l'handicape fortement. Elle est en effet presque deux fois plus grande que Bowser ! Elle cache donc beaucoup la visibilité lors d'une partie, et beaucoup de joueurs ne l'utilisent pas pour cette raison. Si sa taille ne diminue pas, sa présence dans les mario-sports risque d'être compromise. Il est par contre très probable de la voir comme boss dans les prochaines aventures de Mario !

Kamek est le Koopa sorcier de l'armée de Bowser. Plutôt sympathique, il n'a jamais vraiment connu la reconnaissance et le respect des joueurs. Il vaiat pourtant tout pour plaire...

Un personnage mal aimé...

Kamek apparaît la première fois dans "Super Mario World", en 1991, sous le nom de Magikoopa. On le trouvait seulement dans les châteaux, où il lançait des sorts sur Mario. Il était particulièrement énervant, car il était acpable de transformer les blocs en ennemis et de se téléporter partout ! De plus, Magikoopa était presque intuable ! Peu apprécié, Magikoopa dut attendre quatre ans pour réapparaître. C'est ainsi qu'en 1995, on le revoit dans "Yoshi's Island", sous le nom de Kamek. Dans ce jeu, on suppose que Kamek est le seul Koopa magicien du royaume de Bowser, qui était alors Bébé Bowser. A ce titre, Kamek était en quelque sorte la nourrice de Bowser. Dans ce jeu, Kamek apparaîssait à la fin de tous les châteaux, pour faire d'un monstre commun un gros Boss. Assez sympathique dans ce jeu, les joueurs ne l'appréciaient curieusement pas.
Nintendo lui redonne sa chance en l'incluant dans "Super Mario RPG", en 1996, mais cela ne fait que lui enlever le peu de succès qu'il avait. Tant est si bien qu'il n'apparaît pas dans le mythique "Super Mario 64" ! Nintendo, désespérait par ce manque de popularité, l'enlève même à la dernière minute du jeu "Mario Kart 64" et le remplace par Donkey Kong !

... un personnage entouré de mystères...

Sort alors en 2001 "Paper Mario". Et là, c'est la confusion totale. Kamek y apparaît mais... en plusieurs exemplaires ! On peut avoir plusieurs Kameks bleus, des verts, des jaunes... Mais que c'est-il passé ? Kamek ne serait donc pas un personnage unique ? Il faut croire que non... Dans ce jeu apparaît également un nouveau Koopa sorcier, ou plutôt une Koopa sorcière : Kammy Koopa, qui semble très proche de Bowser. On peut donc supposer que notre Kamek de "Yoshi's Island" était du sexe féminin, qu'elle a viellit et devenue Kamy Koopa. Cette hypothèse se confirme avec "Paper Mario 2", où l'on revoit plusieurs types de Kameks et notre fameuse Kammy Koopa.

... mais un personnage très intéressant.

Les pouvoirs de Kamek sont très intéressants pour les jeux de Nintendo : transformations, téléportations, attaques magiques, soutients offenssifs et défenssifs... Kamek est un personnage très diversifié, très utile dans les jeux RPG comme la série "Paper Mario" ou "Mario & Luigi". Il serait également, selon moi, on Boss parfait pour les jeux de plate-formes 3D. Enfin, les nombreuses possibilités qu'il offre pour un jeu tel "Super Smash Bros." laissent rêveur...
Kamek peut avoir un très bel avenir devant lui, mais il faudrait lui trouver un rôle plus caricatural, presque ridicule. Un peu plus d'humour chez ce personnage augmenterait certainement sa côte auprès des joueurs, et son destin serait ainsi presque assuré...

Boo est un fantôme qui a pris de l'importance dans le monde de Mario. Petit, mignon et timide, c'est l'anti-méchant par excellence. Portrait sur ce personnage fort sympathique.

Les pouvoirs de Boo.

Boo aparaît pour la première fois dans "Super Mario Bros. 3", en 1990. Il hante les châteaux. Son attaque est basique : il fonce sur Mario quand celui-ci à le dos tourné. Boo est un fantôme, il est donc immortel. Cependant, grâce à la puissance des Etoiles d'invinciblité, Boo peut trépasser de nouveau...
Boo apparaît dans prsque tous les Mario depuis "Super Mario Bros. 3". Il a à chaque fois les mêmes capacités. Mais dès 1996, avec "Super Mario RPG" et "Super Mario 64", le jouer peut désormais le frapper. Depuis, Boo est un personnage assez faiblard, mais qui reste très embêtant. Il peut en effet toujours se rendre intangible et, dans les séries "Paper Mario" et "Mario et Luigi", il a le pouvoir d'entraver les mouvements du héros ! Il peut également rendre intangible ses coéquipiers...

Les sortes de Boos.

Il existe énormément de types de Boos. Le Boo normal, tout simple. Le Boo Noctal, vu dans "Paper Mario 2" en 2004, et sa version violette, plus puissante. Il existe une espèce rose dans "Super Mario Sunshine" qui se transforme en plate-forme quand on l'arrose. Il existe aussi de gros Boos, appelés Big Boos. Ils sont plus puissants que la plupart des Boos. Il existe également des Boos géants formés à partir de plusieurs Boos simples. Ceux-ci ont deux noms : Boolossus ou Boo Atomique. Enfin, il y a le Roi Boo, qui est en fait un Big Boo avec une couleur légèrement différente que les normaux, un peu plus gros et avec une couronne rouge sur la tête.

L'ascenssion de Boo.

Boo est donc un ennemi de base dans la série des Mario. Il est réduit à hanter des lieux glauques et poussiéreux... On pensait que son rôle se limitait à cela et... on avait raison ! Ou presque... La venue de la GameCube a fait de lui le personnage principal d'un jeu : "Luigi's Mansion", en 2002. Boo apparaît comme un personnage rusé, sadique et plus du tout timide ! Il est subliment réalisé : on le croirait presque vrai ! C'est dans ce jeu qu'apparaît un nouveau personnage, qui va sûrement prendre de l'importance dans les années à venir : le Roi Boo. Ce personnage apparaît ensuite dans plusieurs jeux : "Super Mario Sunshine" en 2002, "Mario Kart Double Dash!!" en 2003, "Super Mario 64 DS" en 2004 et encore "Mario Superstar Baseball" en 2005. Notons également que Boo apparaît aussi dans "Mario Golf Toadstool Tour" en 2004 et "Mario power Tennis" en 2005.
Boo n'est donc pas prêt de rendre l'âme, et il va sûrement jouer des rôles de plus en plus important au fil des jeux à venir... Pourquoi pas dans un "Luigi's Mansion 2" ?

Bowser est le méchant par excellence. Gros, machiavélique, lourd, il reste quand même un personnage avec des sentiments qui essaye de s'enfermer dans son rôle de méchant, en laissant toute fois échapper parfois ses émotions...

Sa création

Mario avait pour ennemi Donkey Kong dans ses débuts. Mais Myamoto voulait un ennemi qui reflètait plus le modèle de "méchant" japonais : Bowser et naît. Il apparaît la première fois en 1986 sans "Super Mario Bros", dans lequel il est le méchant principal et le boss à la fin de chaque monde. Dans ce jeu, il est entièrement vert. Il crache des flammes et, dans les derniers niveaux, il lance des marteaux. La technique pour le vancre est très simple, il suffit d'atteindre la sorte de hache derrière lui pour casser le pont où il se trouve pour le faire tomber dans la lave. Il est également possible de le tuer en lui envoyant une dizaine de boules de feu à l'aide d'une fleur de feu.
Dans "Super Mario Bros 2", en 1988, Nintendo remplace Bowser par Wart, la grenouille géante. Les joueurs l'apprécient moins... Bowser fait alors son grand retour en 1990 dans "Super Mario Bros. 3", en 1990. Ses sept enfants, Larry Koopa, Morton Koopa, Wendy Koopa, Iggy Koopa, Roy Koopa, Lemmy Koopa et Ludwig von Koopa font également leur première apparition dans ce jeu. Depuis, Bowser apparaît dans tous les jeux Mario et, toujours, comme le gros vilain.

Bowser dans les jeux multi-joueurs.

Dans les jeux multi-joueurs, Bowser est toujours l'un des personnages des plus puissant ( voir souvent LE plus puissant ), mais aussi le pus lent. Sauf dans la série Mario Kart, ou il a les karts les plus rapides mais avec une accelération désastreuse. Ses pouvoirs spéciaux sont souvent liés au pouvoir du feu : il laisse des boules de feu sur le terrain dans il crache du feu dans "Super Smash Bros Melee", il enflamme la balle dans "Mario Power Tennis" et "Mario Golf Toadstool Tour". L'exception se trouve dans "Mario Kart Double Dash!!" où il lance des carapaces vertes géantes. Quoi qu'il en soit, Bowser apparaît toujours comme la grosse brute de service, alors qu'il ne l'est pas forcément...

Un gentil méchant

Bowser a beau passer pour un sans-coeur, il arrive qu'il laisse passer des émotions dans certains jeux. Ainsi, dans "Mario Party 3", on nous apprend que Bowser est en fait gentil, et dans "Mario Party 4", Bowser vous souhaite un joyeux anniversaire à la fin du jeu, et ils vous offrent même un cadeau ! Aussi, à la fin de "Super Mario Sunshine", on assiste à une scène émouvante entre Bowser et et Bowser junior, entre un père et son fils... Bowser n'est donc pas si méchant que ça, et on en conclue que c'est juste une carapace dans laquelle il s'enferme. Mais mieux vaut ne pas l'énerver quand même^^.

Ha, Donkey Kong... La base du jeu vidéo ! Le début du mythe de Mario ! Un personnage agile et puissant ! Préparez-vous à (re)découvrir ce singe fort sympathique !

Mais pourquoi "Donkey" Kong ?

En effet, c'est une question qui s'impose. Pourquoi notre singe favoris a-t-il le doux prénom de "Donkey" ? Voyez-vous, dans l'industrie du jeux vidéo, on souhaite donner des noms simples aux personnages, de telle sorte que lorsqu'on les lit, on comprend de suite de qui on parle. En anglais, "monkey" veut dire "singe". Donc voilà, notre personnage s'appelle Monkey Kong !

...

Oui, mais là, il y a un truc qui cloche. On l'a prénommé "Donkey" Kong, et "Donkey" veut dire "âne", en anglais... Donkey Kong serait donc un âne ? Mais non... Alors comment expliquer ce "M" devenu "D" ? Tout simplement à cause d'une faute de frappe lors de la traduction du jeu ! Le traducteur n'a pas fait attention, il a tapé un "D" à la place du "M", et Donkey Kong est né !

Du mythe à l'oublis

Nous sommes en 1981. Donkey Kong est né et fait fureur. Tout le monde le connaît. Tout comme King Kong, il kidnappe des demoiselles. Un petit bonhomme que personne connaît et que tout le monde se moque tante de le vaincre. Son nom est "Jumpman", le futur Mario. Mais pour l'instant, c'est Donkey Kong qui a la vedette. Il se croit irremplaçable. Il se trompe...

En effet, l'année suivante, déjà, il se fait capturer par ce satané Mario. Mais le jeu reste encore entièrement consacré à lui et à son fils, Donkey Kong Junior. Alors pas de soucis. Tout va bien pour le singe.

Ainsi est le scénario jusqu'en 1985. Donkey Kong a plein de jeu "à lui", mais il tombe de plus en plus dans l'oublis. Comble du malheur, son rival de toujours, Mario, voit sa popularité s'agrandir d'années en années. En 1986 sort "Super Mario Bros", ce qui achèvera définitivement notre pauvre macaque...

Le retour en force

Mais grâce à la Super Nes, Donkey Kong réussi à survivre avec l'excellent "Donkey Kong Country" sorti en 1994. Donkey Kong n'est pas le personnage principal des trois opus, mais sa petite famille est quand même là, et cela fait du bien à la popularité du singe ! De plus, les jeux "Donkey Kong Country" font partis des meilleurs jeux de la Super Nintendo. Jeux de plate-formes avec une maniabilité parfaite, des bonus à foison, une durée de vie exceptionnelle, des sons enchanteurs et enfin et surtout, une claque visuelle hors norme ! Car oui, les "Donkey Kong Country" sont magnifiques. Et pourquoi le nier, Mario fait bien pâle figure avec ses tortues volantes et ses champignons, moches comme tout ! Sur ce coup, Donkey Kong marque plusieurs points, et ça fait plaisir de le revoir de bonne humeur !
Mais ce n'est pas fini, la série "Donkey Kong Land" arrive sur Game Boy ! Trois jeux totalement inédits, avec autant de bonne humeur, de bonnes idées, de bons gros ennemis, mais surtout de bonnes bananes ! Le seul défaut est peut-être les graphismes, car après avoir vu ceux de "Donkey Kong Country"... Mas il ne faut pas oublier que nous sommes sur une Game Boy, et même sur ce support, les développeurs ont réussis à faire quelque chose d'assez agréable !
En bref, de 1994 en 1997, Donkey Kong a eu six fabuleux jeux, et sa popularité grandit en conséquence ! Malheureusement, celle du plombier moustachu n'en finit pas de grandir également, grâce notamment à "Super Mario 64", en 1996...

La résistance par tous les moyens.

Si Mario a réussis son passage à la 3D, pourquoi pas Donkey Kong ? C'est ainsi qu'en 1999 sort "Donkey Kong 64", un jeu fabuleux de plate-formes, où l'on incarne Donkey et des membres de sa famille, dans un univers très bien réalisé. Mais comble de malchance, ce jeu est passé trop inaperçu pour que Donkey Kong puisse rattraper le succès de Mario. Alors le singe se voit obliger de s'incruster dans les Mario Party et les jeux Mario-Sports. Des rôles ingrats, mais c'est sa seule chance de salut.
Mais le singe en a marre de jouer la cinquième roue du carrosse, alors il décide de jouer gros. De jouer sous la forme de l'originalité. Ainsi sort en 2004 "Donkey Konga", un jeu musical où la manette est remplacée par des minis tam-tams, appelés Bongos ! Etrangement, ce jeu a eu pas mal de succès, et un deuxième opus est sortit, suivis bientôt par un troisième !
Pour rester dans l'originalité, "Donkey Kong : King of Swing" est sortit en 2004 sur GBA. Un jeu de plate-formes qui se joue avec seulement deux boutons, le "L" et le "R" ! Etonnant, mais la formule marche et le jeu est accrocheur. Une suite est même prévue !
Mais qu'en est-il des jeux plus "classiques" ? A la sauce "Donkey Kong Country" ? Une bonne surprise attend les joueurs en 2005, où "Donkey Kong : Jungle Beat" sort sur Game Cube. Un jeu magnifique avec des personnages en 3D évoluant dans un univers en 2D. Mais on dirige le singe avec les Bongos. Un jeu sympathique et très rythmé ! Enfin, un jeu de course est prévu pour la fin de l'année, "Donkey Kong : Bongo Blast". Comme vous l'aurez deviné, on dirigera nos véhicules avec les Bongos.
Le singe ne semble plus juré que par ses Bongos ou des maniabilités plus qu'originales. Au moins, cela lui permet de ne plus être dans l'ombre de Mario. Mais pouvons-nous espérer un jeu de Donkey Kong plus... "classique" ?

Bienvenue à la biographie de notre cher petit Toad ! Ce personnage peureux mais sympathique a vécu une histoire peu enviable, et cela semble s'arranger petit à petit. Petit zoom rapide sur cet étrange champignon...

Un personnage au départ décoratif.

Toad apparaît pour la première fois en 1986, dans le jeu "Super Mario Bros". Dans ce jeu, Toas n'a pas encore vraiment d'identité. Il est désigné comme "sujet du Royaume Champignon". On le voit à la fin de chaque château, prisonnier de Bowser. Il ne servait pas à grand chose, car il ne disait qu'une phrase, invariableent la même : "Merci Mario ! Mais notre princesse est dans un autre château !". Par conséquent, il décevait plus les joueurs qu'autre chose !

Le succès...

En 1988, Nintendo veut créer un jeu marquant par son originalité. "Super Mario Bros 2" devait avoir quatre personnages : un équilibré, Mario, un rapide, Luigi, un ayant de bonnes capacités de sauts, Peach et un fort et rapide. Premier problème, Nintendo ne possède pas de personnage censé être fort et rapide ! Wario n'a pas encore était inventé, Yoshi n'a jamais été envisagé... Mais il existe un petit champignon, oublié, au fond des châteaux lugubres ! Vous l'avez deviné, c'est Toad qui prendra la place du quatrième personnage, et cela le propulsera sur le podium du succès. Puis sort en 1990 "Super Mario Bros 3". Nintendo n'a pas oublié Toad, et ce dernier a un rôle très sympathique : il tient des boutiques très utiles pour le joueur. On est bien loin du rôle fade de "Super Mario Bros" !

...ne dure qu'un temps.

Mais malheureusement pour Toad, il n'apparaît pas dans le magnifique "Super Mario World", en 1991, alors que Yoshi y fait sa première apparition et conquis déjà le public ! Il semblerait que Toad ne soit plus qu'un souvenir...
Mais "Super Mario Kart" en 1992 rafait vivre le champignon. Ce jeu super fun permet en effet de le contrôler !
Toad a eu également son propre jeu : "Wario's Wood". Bon, d'accord, le titre du jeu porte le nom de Wario, mais le héros du jeu est bien Toad ! Nintendo et la logique... Faut pas chercher à comprendre... En tout cas, ce jeu n'est pas très connu, et le peu qui le connaisse l'apprécie pas, à cause des graphsimes relativement moches.
Même s'il a eu son propre jeu, Toad ne connait pas encore le succès qu'il mérite. Cela va-t-il s'arranger avec la Nintendo 64 ? Malheureusement, qu'à moitié...

Le jeu qui sauve.

L'arrivée de la Nintendo 64 annonce le passage à la 3D. Myamotto l'a dit lui même, Toad a été l'un des premiers personnage de l'univers de Mario à avoir été modélisé en 3D, car sa physionomie est la plus simple à réaliser ! On le voit donc naturellement dans "Super Mario 64", où il s'avère indispensable pour finir le jeu à 100%. On le voit également dans les "Paper Mario", où Toad à carrément sa propre race ! Il existe dorénavant plusieurs sortes de Toad : des blancs à pois rouges, des verts à pois blancs etc... Il existe même des filles Toad, les Toadettes ! Détail amusant, les noms des Toads se finissent pout la plupart par un "T". On rencontre "Miny T", "Vanna T" ou autre "Mijo T" ! Il semblerait que Toad soit devenu un personnage vraiment important.

Des petits rôles de plus en plus nombreux

Depuis, on voit Toad dans tous les Mario. Qu'il soit un vieux bonhomme inquiet pour la princesse ( Papy Champi ), un organisateur de fêtes ( les "Mario Party" ) ou encore arbitre de matchs ( "Mario Power Tennis" ), vous ne pouvez pas joué à un seul Mario sans le voir au moins une fois. Toad semble donc s'être illustré dans la cours des grands, mais à quand un bon jeu bien à lui, autre que le très décevant "Wario's Wood" ? Toad mérite son propre jeu. Espérons que Nintendo y pensera...

Peach est l'âme féminime de la série. Grande, blonde et qui semble adoré le rose, elle cache un caractère compétitif. Petit portariat sur ce personnage sympathique, mais pas très diversifié.

La revanche d'une blonde.

La princesse Peach n'apparaît pas dans les premiers jeux de Mario. Notre fameux plombier devait en effet sauver une dénommée Pauline puis ensuite la princesse Daisy. Peach n'apparaît qu'en 1986, dans "Super Mario Bros.". Elle était alors rousse. Il faut attendre 1990 et "Super Mario Bros. 3" pour voir Peach blonde. Ironie du sort, ce n'est que la troisième femme de la série qui est restée : Pauline a disparu et Daisy est presque oubliée. Mais les rôles de Peach ne sont pas faramineux...

Une carrière peu enviable.

Peach apparaît principalement comme la cruche de la série, le personnage qui tombe dans tous les pièges, même les plus grossiers... Le genre de personnage qui ferait mieux de rester couché, en somme ! En effet, sa seule raison de vivre semble être de se faire capturer par Bowser... Dans tous les jeux d'aventures où elle apparaît, elle attend bêtement que Mario vienne la délivrer... Une lueur d'espoir arrive en 2002 avec "Super Mario Sunshine", où le héros doit nettoyer une île polluée. Plus question d'enlèvement ! Malheureusement, au cour du jeu, notre princesse trouve le moyen de se faire kidnapper ...
Mais récemment, en 2006, Peach nous dévoile une nouvelle facette de sa personalité, dans "Super Princess Peach". Elle part en effet à l'aventure, armé d'un parapluie magique, pour aller délivrer... Mario et Luigi ! Après 20 ans d'entière soumission, les rôles sont enfin inversés ! Espérons que Peach reste dans cette voie, car cela permet enfin d'avoir des scénarios originaux !

Yoshi, le dinosaure à la longue langue, est mon personnage de Nintendo préféré ( comment ça vous vous en fichez ?^^ ). De taille moyenne, mignon comme tout, fort et courageux, il a tout pour plaire. Petit zoom sur ce personnage débordant d'affection.

Ses débuts exceptionnels

Yoshi voit le jour en 1991 dans le jeu "Super Mario World". Il se révèle être indispensable dans ce jeu et dispose de pouvoirs surprenants comme cracher du feu, voler ou provoquer un petit tremblement de terre. Un monde entier lui est consacré, le monde des étoiles, dans lequel on peut le débloquer dans diférentes couleurs, jaune, bleu et rouge, chacune de ces espèces étant spécialisé dans un des trois pouvoirs cités plus haut. Le seul défaut de Yoshi dans "Super Mario World" est qu'il est complètement idiot : à la moindre attaque subit, il court tout droit, allant même jusqu'à se jeter dans le vide... Cela n'empêche pas que les joueurs l'adorent et qu'ils en redemandent. Nintendo exauce leur souhait et créer en 1995 "Yoshi's Island". En quatre ans, Yoshi réussis à avoir son propre jeu. Luigi, lui, doit attendre 19 ans pour avoir son propre jeu ! Dans "Yoshi's Island", Yoshi peut avaler ses ennemis pour les transformer en oeufs qu'il peut alors jeter sur d'autres monstres. L'originalité de ses attaques augmente la popularité de Yoshi. "Yoshi's Island" est un jeu long, beau, et truffé de passages secrets et de bonus. Un must !Considéré comme le meilleur jeu de plate-forme 2D, ce jeu fait grimper la popularité de Yoshi au summum.

Les capacités de Yoshi dans les différents jeux

Vu sa grande popularité, Nintndo est obligé d'inclure Yoshi dans les jeux Mario Sport. On voit donc apparaître Yoshi dans la série Mario Kart, Super Smah Bros., Mario Tennis etc... Yoshi est dans ces jeux générallement un personnage de poids moyen, rapide et efficace, mais avec peu de puissance. Ses attaques spéciales sont toujours liés à ses oeuf ou à sa langue remarquable. Ainsi, dans "Mario Kat Double Dash !!", il jète des oeufs à tête chercheuse et il peut avaler ses ennemis dans "Super Smahs Bros.". Yoshi est donc un personnage maniable mais peu puissant. Il est principalement réservé aux joueurs débutants, mais restent quand même très efficace pour les joueurs expérimentés.

Les sortes de Yoshis

Yoshi nous apparaît pour la première fois dans "Super Mario World" en vert. Mais on apprend plus tard dans ce jeu qu'il existe trois autres sortes de Yoshi : le jaune, le rouge et le bleu. En 1995, dans "Yoshi's Island", on découvre d'autres couleurs de Yoshi : le Yoshi rose, le Yoshi bleu clair, le Yoshi violet et le Yoshi brun. Plus tard, en 1998, dans "Yoshi's Story, on découvre deux nouvelles sortes de Yoshi : le Yoshi blanc et le Yoshi noir. Enfin, en 2002, dans "Super Mario Sunshine", on découvre un Yoshi orange.Les Yoshis mangent principalement des fruits. Le fruit préféré d'un Yoshi dépend de sa couleur. Ainsi, le Yoshi préférera manger des bananes et le Yoshi rouge des pommes. On ne devrait donc pas dire "Yoshi", mais "un Yoshi", car ils forment un véritable peuple.

Un bel avenir devant lui

Yoshi est le personnage de Nintendo qui a la carrière la plus impressionnante. Il fut créer uniquement pour varier les plaisirs d'un jeu, mais il devint vite plus qu'apprécier. Il a atteint la célébrité bien plus rapidement que Luigi, alors qu'il est apparu huit ans après. Yoshi est le héros de plusieurs jeux novateurs, accessibles à tous : les novices finissent le jeu avec bonheur et les vétérans fouillent le jeu de fond en comble pour percer tous ses secrets. Yoshi a eu un jeu à lui sur chaque console ( sauf la Game Cube, mais il est quand même indispensable dans "Super Mario Sunshine" ) depuis sa naissance : "Yoshi's Island" sur SNES et GBA, "Yoshi's Cookie" sur GB, "Yoshi's Story" sur N64 et "Yoshi Touch & Go" sur DS. Un jeu sur la Wii ( Révolution ) ? Pourquoi pas ? Yoshi est un personnage avec des capacités très prometteuses...

Il est gros, il est gras, il est moche, il est radin, il est l'ennemi d'à peu près tout le monde, voici le seul, l'unique ( et heureusement^^) WARIO !!!

Le rival de Mario

Nintendo a décidé en 1992 de changer de méchant suprème. Il crée alors une histoire qui se situe à la suite de "Super Mario land". Un vil et fourbe personnage a volé le château de Mario. Ce personnage est plus gros que Mario, plus bête que Mario et plus méchant que Mario. Mais son "look" ressemble à celui de Mario : casquette et salopette. Wario est naît. Son nom signifie "Mauvais Mario" et est un mélange subtile de plusieurs jeux de mots : "War" veut dire "guerre" en anglais. Le W est un M à l'envers, soit l'inverse du M, tout comme Wario et Mario. La prononciation de Wario est plus aggressive que celle de Mario. En bref, Wario est le parfait contraire de Mario, et il s'en contrefiche !

La passion pour la richesse

Alors que Mario saute de plate-formes en plate-formes pour sauver la princesse Peach et secondairement le monde, Wario part à l'aventure que pour gonfler son coffre au trésor. Sa première aventure ( et, même si tout le monde s'en moque, mon tout premier jeu vidéo^^ ) en 1993 dans "Wario Land" le fait visiter l'Ile des Pirates pour... voler leurs trésors ! Les pirates se vengent en 1998 dans "Wario Land 2" et pillent son château. Wario revient en 2000 dans "Wario Land 3" mais cette fois, plus question de s'enrichir ! Wario a été enfermé dans une boîte à musique et il doit s'en échapper. Wario se bat encore pour lui-même... Le dernier opus des "Wario Land", "Wario Land 4", voit le jour en 2001. Wario visite une étrange pyramide pour y trouver... un légendaire trésor ! Wario a refait son apparission en 2003 dans "Wario World". On y voit son incroyable richesse... transformée en monstres globuleux par un mystérieux joyau noir ! Wario découvre avec effroi le désastre et fait tout me remettre les choses dans l'ordre. Une aventure avec encore un but personnel ! Wario est donc un personnage plutôt solo, qui adore faire des bêtises, et qui aime plus que tout les trésors.

Une incroyable réussite... incomplète

Contrairement à toutes attentes, Wario plaît. Son caractère égoïste et insolent changent du héros habituel et le public en redemande. Ainsi, ce n'est que de justesse que Wario remplace Koopa Troopa dans "Mario Kart 64" en 1997. C'est sûrement LA chance à Wario, qui aurait sombrer dans l'oublis sinon. Curieusement, Wario n'apparaît pas dans la géniallissime série "Super Smash Bros.". Mario et présent, Luigi aussi, même Dr.Mario, mais pas Wario ! On se demande bien pourquoi, mais c'est ainsi...
Wario se venge alors en créant l'industrie "Wario Ware.Inc" en 2003, sur GBA. Tout une série de jeux sortent du même principe, sur GC en 2004, sur DS en 2005 et une nouvelle version GBA en 2006. Cette série reflète parfaitement l'âme de Wario : débile, mais marrante. Une succession de mini-jeux sans intérêts et qui durent rarement plus de deux secondes... Il fallait l'oser, Nintendo l'a fait ! Wario remonte alors sur le podium des personnages principaux de Nintendo. On espère le voir dans le prochain "Super Smash Bros." sur Wii ( Révolution ) !

Luigi, frère du très célèbre Mario, n'a pas connu le même succès que ce dernier. Il a pourtant presque les mêmes capacités que son frangin, vu qu'ils sont jumeaux. Luigi est juste un peu plus grand et plus mince. Il saute plus haut que Mario et préfère se servir de son intelligence que sa force et son courage ( qu'il n'a pas, d'ailleurs ). Outre le fait qu'il est moins fort, Luigi est donc supérieur à Mario dans beaucoup de domaines. Mais pourquoi est-il un personnage oublié ?

Ses origines

Luigi apparaît en 1983, dans le jeu "Mario Bros". Première raison de se souvenir de son frère plutôt que de lui, le jeu s'appelle "MARIO Bros", et non "LUIGI Bros". Si vous ne savez pas pourquoi, consultez la biographie de Mario. De plus, le personnage principal est mario lui-même, car le monde le connaît et son premier jeu, "Donkey Kong", a été un grand succès. Luigi ne peut être alors joué que par le joueur 2, et il est exact réplique de Mario, mais en vert pour ne pas les confondre. Luigi était donc beaucoup moins joué que Mario, et peu de monde l'appréciait.

Une situation de pire en pire.

Alors que "Mario Bros" a un succès énorme et que Mario commence a devenir une véritable vedette, Luigi continue a passé inaperçu. C'est alors que sort en 1986 "Super Mario bros", le premier vrai jeu de plate-forme de l'Histoire. Luigi a là une bonne occasion de se rattraper, mais les dévellopeurs ( sadiques ? ), ont décidé de le remettre pour le joueur 2. Luigi semble être condamné à rester second...Sort alors "Super Mario Bros 2" en 1988. Cette fois, les dévellopeurs font forts et mettent quatre personnages jouables, avec des caractéristiques propres. C'est dans ce jeu que l'on distingue pour la première fois les différences entre Mario et Luigi. Malheureusement, la maniabilté de Luigi exaspère les joueurs et ils préfèrent se rabattre sur l'éternel Mario... Luigi devient alors de moins en moins populaire... Les dévellopeurs tentent quand même de l'inclure de nouveau dans "Super Mario World", en 1991. Luigi a les mêmes défauts que dans les jeux précédents, et presque personne ne joue avec lui. De plus, un nouveau personnage apparaît, Yoshi, qui lui vole carrément sa place de second ! Luigi devient alors troisième, et la popularité du petit dinosaure vert de cesse d'augmenter... Luigi semble être mort et enterré...

La revanche de Luigi

La sortie de "Super Mario Kart" en 1992 permet enfin à Luigi de remonter dans l'estime des joueurs. En effet, dans ce jeu, tous les personnages ont les mêmes caractéristiques. Les joueurs commencent donc à s'intérresser à Luigi, mais leurs choix penchent toujours plus vers Mario ou Yoshi... La même année sort "Mario is missing !", la consécration. Luigi a enfin son jeu à lui. Il doit retrouver Mario qui a disparu. Mais Yoshi est encore est toujours là pour mettre de l'ombre au tableau... De plus, Luigi n'a même pas son qui apparaît dans le nom du jeu... La catastrophe arrive alors pour Luigi en 1995 avec "Yoshi's Island". Le dinosaure a déjà son propre jeu et Mario apparaît dans toute l'aventure. Le but, sauver Luigi, qui n'apparaît donc qu'à la fin... Luigi est au fond du fond... La catastrophe continue avec "Super Mario 64" en 1996, le jeu le plus prometteur de Nintendo. Luigi n'y apparaît tout simplement pas, alors que Yoshi y est présent... L'arrivée de "Mario Party" en 1998 lui redonne un peu de son charisme, mais la surexploitaion de cette série le fait bien vite oublier.

Luigi continue d'apparaître dans tous les "Mario sports" : "Mario Tennis", "Mario Golf", "Mario Kart" etc... Des brèves apparitions et surtout anecdotiques, mais qui lui permettent de se trouver un type de joueur. L'année 2002 arrive avec la sortie de la Game Cube et, contre toute attente, c'est un jeu de Luigi qui l'inaugure, "Luigi's Mansion". Luigi doit retrouver son frère enlevé par des fantômes dans un manoir hanté. Bonheur suprème pour Luigi, Yoshi n'apparaît pas dans ce jeu ! Mais il semble que pour que Luigi ait un jeu à lui, Mario doit disparaître... La même année sort "Super Mario Sunshine" dans lequel, tout comme dans "Super Mario 64", Luigi n'apparaît pas. Mais Yoshi, lui, apparaît ! Luigi revient brutalement dans son rôle d'inutile est d'oublié...
2003 annonce le retour de Luigi en force avec "mario et Luigi : Super Star Saga". Luigi est tout simplement indispensable ! Mais en 2004, les fans de Luigi ont une petite frayeur : "Super Mario 64 DS" arrive... Mais les dévellopeurs ont eu une bonne idée : quatre personnages sont jouables ( Mario, bien sûr, Luigi, Yoshi et Wario ) et le joueur est obligé de tous les utilisés pour finir le jeu. Malheureusement pour Luigi, il n'est que le troisième personnage jouable, Yoshi étant le premier et Mario, pour une fois, le second.
"Mario et Luigi" revient en 2006, car le premier opus a eu un véritable succès. Dans ce jeu, Luigi garde son staut d'indispensable et il devient alors un personnage à part entière, débordant d'humour. Il a de plus en plus de fans et il joue un rôle de plus en plus important. Le plombier vert n'a pas de soucis à se faire pour le moment, il a un avenir prometteur...